|| PRENDRE UN PERSONNAGE

S

Code:: [list][b][size=9]III / YOUR STORY[/size][/b][/list]
[list][size=9]HISTOIRE :[/size]
[i]15 lignes minimum
Enfance, adolescence . Passé au niveau équestre également[/i]

[list][b][size=9]YOUR SELF ?[/size][/b][/list]
[list][size=9]PRÉNOM ET PSEUDO :[/size]
[size=9]MONTES-TU A CHEVAL ? :[/size]
[size=9]GALOP ? :[/size]
[size=9]AGE :[/size]
[size=9]SUGGESTION SUR LE FORUM?[/size]
[size=9]AVATAR :[/size]
[size=9]MULTIPLE COMPTE ?[/size]
[size=9]CODE :[/size]
[size=9]QUEL GRADE PENSES-TU AVOIR ? :[/size]
[/list]

[spoiler][list][size=11][b]TEXTE D'ÉVALUATION [/b][/size]

Il s'agit de nous présenter votre meilleur texte . Il doit s'agir de vous en train de vous occupez de votre cheval . [u]Obligatoirement[/u] monté . Bien sûre, il peut provenir d'un autre forum . Vous n'êtes pas obligé de changer le prénom si vous ne jouez pas le même personnage sur les deux forums .
AFIN D'ÉVITER LE PLAGIAT > Merci de nous donner une screen ou le lien de provenance exacte du texte , le lien de votre entrainement sur l'autre forum . Merci .[/list][/spoiler]

Invité

Code:

III / YOUR STORY

[list]HISTOIRE :
15 lignes
Enfance, adolescence . Passé au niveau équestre également
Sa arrive =)

YOUR SELF ?

PRÉNOM ET PSEUDO :

MONTES-TU A CHEVAL ? :

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AGE :

SUGGESTION SUR LE FORUM?

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MULTIPLE COMPTE ?

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QUEL GRADE PENSES-TU AVOIR ? :

Spoiler:

Bonne chance pour la fin Wink

.

III / YOUR STORY

HISTOIRE :

« Thommas Thompson, approchez-vous. Vous avez reçu une lettre de la prestigieuse Académie de Training Helps, vous êtes un professionnel en équitation et l'on vous à remarqué. Je suis mécontent de vous jeune homme, vos sorties ne sont pas faites pour vous faire remarquer !

"Un licol, une longe, ça a toujours suffit à ce gosse. depuis que sa mère est morte, il a été envoyé en pensionnat, un endroit très.. strict. De temps en temps, j'arrivais à le faire sortir de là autrement que pour ses leçons d'équitation, je l'emmenait en concours et c'est là qu'un jour un homme l'a accosté. Ce jour là, il a levé les yeux du parcours de la jument qu'il suivait, à regarder son interlocuteur de la tête aux pieds puis a reporté son attention sur le parcours, laissant l'homme sans réponse. C'est moi, son grand père qui ai répondu à cet homme, un représentant de l'Académie d'équitation de Training Helps. J'ai répondu patiemment à chacune de ces questions et quand il m'a demandé à voir mon jeune poulain monter sur un cheval, un sourire à éclairé mon vieux visage ridé. Mon petit fils allais monter en présence d'un grand, quelqu'un allais l'évaluer et qui sait.. "

« Thompson répondez moi, comment avez vous fait pour acquérir assez de professionnalisme pour entrer dans cette Académie ?

YOUR SELF ?

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TEXTE D'ÉVALUATION

« -Le directeur à Thommas- Monsieur Thompson, que faites-vous ? Monsieur Thompson revenez, ce cheval n'est pas à vous, vous n'avez pas le droit... Je pourrai vous faire un procès jeune homme !

‘’ La pouliche renâclait, l’homme qui la tenait lui avait précipitamment passé un licol puis l’avait sortie et avait posé sa main sur le dos de celle-ci, délicatement, certes mais un peu rapidement à son goût, elle n’aimait pas les hommes ni leurs manières brutales. Ses sentiments envers cette race étaient donc des plus négatifs. ‘’

Thommas n'entendit pas la fin de la phrase que le gérant du centre équestre avait prononcée, il ne voulait rien entendre de la part de cet homme et était déjà aux portes du carré de Dressage. Il n’aimait pas ce genre de personnes qui se prenaient pour des grands alors qu’un simple pansage était une matière inconnue pour eux. La voix portait loin mais le jeune Américain n’entendait que ce qu’il voulait bien entendre et cela, il ne voulait pas l’entendre. Le garçon que cet homme appelait avait la main posée sur le dos d’une jument noire, un cheval dont personne ne voulait. Cette bête avait pourtant de l'allure et, le brun en était certain, du talent. Il lui avait suffit de contempler la pouliche au pré pour évaluer ses compétences, celle-ci utilisait chaque chose apprise pour se défendre des hommes, de ces bipèdes qui la malmenaient et l'enfermaient à longueur de journée. Il le savait, elle les détestait tous, lui compris. Il est vrai que le centre équestre qui l'avait achetée, lorsqu'elle n'avait que six mois n'était pas un endroit très renommé et je dois dire que les chevaux y étaient traités d'une façon assez surprenante, Thommas le savait et désapprouvait ces méthodes. Le beau brun ne portait ni bottes ni bombe d'équitation, il avait sortit la jeune jument à l'improviste, sans en parler à son propriétaire, un gros bourgeois qui espérait la faire concourir dans les carrés de dressage les plus prestigieux pour gagner encore plus d'argent qu'il n'en avait déjà. Il haïssait ces personnes. Le problème, cette petite ponette était une ingérable, la monter était une chose tout à fait possible mais lui faire faire un exercice selon notre propre désir en était une autre. Et cela, monsieur Thompson l’avait remarqué à force d’assister aux sorties de la charmante demoiselle. C'est pour cela qu'il avait voulu la sortir au grand air, la monter de façon douce, apprendre à la connaître, à cerner sa personnalité. Un grand fan d’éthologie me direz-vous donc, oui, douceur était son premier atout, patience son second. Et cela, il aimait. Il était rare de voir la demoiselle en dehors de son box, sinon au pré et chaque fois que quelqu’un, même de doué la montait, le cavalier en question faisait ses adieux dès la descente de selle tellement la jument était désagréable et contrariante. L’américain fit pivoter la barrière de bois exotique du carré extérieur, gardant une main sur le dos nu de la petite jument. Il referma derrière lui, espérant ne pas être dérangé tout au long de sa séance.

« -Le directeur à Thommas- Thompson rentrez cette jument, vous aller mordre la poussière ! Rentrez-la au box, vous n’avez aucun droit sur elle, elle ne vous appartient pas.

Thommas regarda dans la direction de celui qui l’interpellait à nouveau, cet homme était toujours juché au sommet de la petite côte qui descendait en pente douce vers le carré ouvert, un directeur de centre équestre qui ne connaissait absolument rien aux chevaux, un pitoyable avenir attendait donc ce manège rural. Une lueur de haine brillait au fond des yeux du jeune homme qui éprouvait les sentiments les plus mauvais envers cette ordure. Répondre aux questions n’était pas l’activité préférée du jeune homme, il aurait pourtant bien répondu un « pas encore, d’autant plus qu’il détestait cet ignare plein de fric, il préféra quand même laisser le vent porter jusqu’aux oreilles de Monsieur son inexistante réponse. La robe de la jument, d’un noir de jais était terne et salie par la poussière, le manque de soin apparaissait donc à l’œil de n’importe qui. Ni selle ni bride n’ornaient son corps, juste un fin licol de corde, un licol éthologique. Pour Thompson, aucune méthode de dressage, aucune entrave ne réussissait mieux que la façon douce, dite éthologie, auprès des chevaux. Une légère brise parfumée de chèvrefeuille arrivait aux naseaux de la ponette qui l’intercepta en un mouvement de fhlemmen et l’analysa longuement, l’odeur ainsi bloquée dans la cavité de son appareil respiratoire. Thompson enleva sa main du dos de la petite fougueuse et défit le mousqueton qui reliait sa longe au fin licol de la jument, lui offrant ainsi une vague de liberté que celle-ci prit comme une invitation. Elle hennit furieusement, la haine au cœur. S’enfuyant telle une flèche noire, la contrariante pouliche galopa jusque dans le coin le plus reculé de la carrière, où elle se plaqua contre la planche de bois qui séparait le sable fin de la piste de l’herbe fraîche du pré jouxtant le carré. Thommas marcha d’un pas rapide jusqu’au centre de la carrière, fixant ainsi la lettre x, il appela la belle de son nom, Aifha Rouanita De La Roche Pausay, ne prononçant évidemment que le doux prénom d’Aifha, le reste étant trop long à retenir pour un cheval.

« -Thommas à la pouliche- Aifha viens par ici, toute douce ma belle.

‘’ Il m’appelle, ma fine tête se dresse, se découpant dans le ciel d’un bleu azur. Jamais je ne lui obéirais, ces hommes ont des manières que je n’aime pas, ils me malmènent et m’enferment. Ils me font manger ce grain qui me semble sans saveur par rapport à la belle herbe de mon enfance... Je n’aime rien de cet endroit. ‘’

Relevant sa petite tête intelligente, la jument ne bougea pas, plantant chacun de ses quatre sabots dans le sable fin. Le jeune homme avança d’un pas, levant la main dans laquelle il tenait toujours la longe, cherchant à faire fuir la jument d’un coin à l’autre. La pouliche détala vers le coin suivant, couchant ses oreilles sur sa nuque, fouettant l’air de sa queue, l’air furieux. Thommas reprit le même scénario et chassa la jument dans l’autre coin, obtenant d’elle un regard chargé de haine. Aifha venait de dévier du coin, faisant mine de charger le cavalier d’un galop magnifique. Dérouté, il agita sa longe et elle dévia à nouveau, ne rejoignant pas le coin, cette fois. Décrivant des cercles dans un galop furieux, la jument encercla le bel américain, lui tirant un charmant sourire qu’aucune demoiselle n’avait encore réussi à lui tirer. Peu à peu elle ralentit son galop, repassant par moment au trot. Elle résistait cependant, tardant à allonger l’encolure et à baisser la tête, tardant aussi à exécuter ce si caractéristique jeu d’oreilles. Le jeune homme attendit patiemment, jouant de sa longe pour lui faire garder le trot. La jument commençait pourtant à se lasser, changeant sans cesse d’allure, Thompson eut pitié d’elle et après quelques changements de main pendant son travail, il la laissa repasser au pas et essaya de lui refixer la longe au licol, ce qu’elle n’accepta pas, secouant la tête, plaquant ses oreilles contre sa nuque et s’échappant à nouveau. L’américain repris sa longe et la remis au trot, la laissant lui tourner autour. Au cours de son travail, il avait pu remarquer une faiblesse au niveau de l’antérieur droit, elle ne boitait pas mais son membre était plus faible que les trois autres, la gênant imperceptiblement. Au bout d’un moment, il la fit changer de main, levant sa longe vers le ciel, s’approchant d’elle. La pouliche reprit son galop à l’autre main, galop que Thommas constata être sur le bon pied, chose qu’il n’aurait pas à lui réapprendre si on la lui laissait monter.

« -Thommas à la pouliche- Je vois que les hommes t’ont fait beaucoup de mal, tu les crains Aifha, tu en as peur. Tu ne te soumets pas à moi, même si je ne t’ai jamais malmenée, tu ne t’approche pas car tu me crains, jolie pouliche.

La noire grinça des dents, baissant centimètre par centimètre son encolure, jouant de ses fines oreilles de ponette, arrêtant d’agiter sa queue, se soumettant à présent à l’attitude de son désormais maître. Thompson cessa de la chasser de sa longe, l’invitant à s’approcher. Il se tourna dans une autre direction, se soustrayant à la vision de la jument ainsi nue de sa force de caractère. Le jeune américain s’accroupit sur le sable jaune du carré, se montrant inoffensif, se laissant dénuder de sa puissance. Le voyant aussi nu qu’elle, dénudé de force et de puissance, la pouliche s’approcha, un brin hésitant, un soupçon curieux. Posant délicatement sa tête sur l’épaule de Thommas, elle souffla une goulée d’air chaud dans le creux de son oreille, lui faisant ainsi remarquer qu’il avait entièrement gagné sa confiance de ponette difficile. Murmurant à la pouliche, il lui souffla quelques mots doux :

« -Thommas à la pouliche- Tout au fond de moi, je savais que tu te soumettrais, je ne suis pas un homme tel ceux qui t’ont dressée, je ne suis pas du genre à utiliser des mors de plus en plus durs à la moindre incartade, je ne suis pas du genre à te faire sauter des obstacles plus hauts que tes capacités ne te le permettent. Et si je porte des éperons quand je suis en selle, ce n’est pas pour te punir, c’est pour affiner mes demandes... Je me sais juste et fidèle envers les chevaux et je voudrais te faire la promesse d’un lendemain. Laisse-moi te monter demain, devant celui qui a tout commandé pour toi depuis ta naissance.

Aifha recula d’un pas et sembla évaluer la proposition, dans ses yeux s’alluma une étrange lueur. D’un geste doux, elle attrapa le col du polo ligné de Thommas et le tira comme pour le mettre debout. Ce dernier se leva et épousseta son vieux jeans élimé, se passant la main dans les cheveux, il parût soudain tout étourdi. Fixant la longe au licol de la jument, il en fit une paire de rênes, sautant délicatement sur son dos encore fragile. Elle avait cinq ans et aucun des cavaliers sélectionnés par son propriétaire ne l’avait montée plus d’une fois, elle les dégoutait l’un après l’autre, leur faisant regretter leur soi-disant compétences. Aujourd’hui, Thommas était sur son dos et elle semblait s’en accommoder, appréciant le fait qu’il ai prit le temps de faire connaissance avec elle avant de l’enfourcher. L’adolescent avait une certaine aisance en selle et son travail d’assiette était remarquable, il connaissait la juste valeur de cette aide et s’en servait correctement. Le jeune homme lui fit faire quelques tours de pas, jugeant cela suffisant puis d’une pression des mollets lui demanda le trot, gardant une position irréprochable, tout le corps allongé vers le bas, jambes au contact et genoux arqués de façon à épouser les formes de la jument, regard fixe et lointain, dos droit et tonique, mains basses, gardant le contact avec la jument. Le trot de la ponette n’était dans un premier temps pas fort agréable à suivre mais elle ralentit un peu, suivant la demande de l’américain qui, pressant les genoux contre les flancs de sa monture et ralentissant le rythme de son bassin, lui demanda un trot plus souple. Une rêne d’ouverture, la jambe intérieure à la sangle, l’extérieure légèrement reculée, les mains toujours basses et le dos droit, le regard suivant son itinéraire, la jument connaissait la volte. Durant cette même volte, la jument se mit en main, le chanfrein à la verticale du sol, engageant presque imperceptiblement ses postérieurs. Thompson la félicita de paroles douces :

« -Thomas à la pouliche- Une ponette comme toi, on n’en trouve pas à chaque coin d’écurie, raison de plus pour prendre soin d’une telle merveille. Ton propriétaire n’a su que faire de tes caprices et t’as rendue méchante, te dégoutant des hommes et de la gente humaine. Je suis désolé pour toi ma belle et j’espère te redonner goût à cette vie de cheval domestique. Tu connais les bases mais il te faut quelqu’un de responsable sur ton dos, quelqu’un de doux.

La pouliche pointa ses fines petites oreilles, montrant la justesse du compliment. Elle n’y était pas habituée et si on avait eut une femme en face de nous, on aurait pu la voir rougir mais la ponette se contenta de la drôle de lueur, tout au fond de son œil. Les aides qu’il avait placée étaient justes et Thommas constata un changement dans son trot, il était plus confortable, plus élastique, il sourit et se sentit lui aussi rougir de plaisir, la belle comprenait ses pensées. Ayant à son goût exécuté assez de voltes et de cercles, l’américain demanda le galop, exerçant une pression de la jambe d’impulsion, gardant le dos droit, le regard fixe et les mains basses. La jument partit au galop, n’oubliant pas d’exécuter son formidable coup de cul qui aurait d’ailleurs mis le cavalier par terre s’il n’avait possédé une certaine aisance à cru. Foulant ensuite le sable d’un galop sans erreurs, la jument se plia aux exigences de Monsieur, exécutant cercles et longueurs suivant sa propre envie, ne se braquant pas aux rênes d’ouvertures. Thompson serra les genoux, se grandit dans sa selle et se tint bien droit, demandant le trot à la ponette, elle comprit mais n’obéit pas, accélérant le galop. Le jeune homme du sévir et se servit de ses doigts, pressant les rênes dans ses mains, reprenant et relâchant légèrement la longe. Elle dut finalement respecter l’ordre de son cavalier et repasser au trot, pompant comme une machine à vapeur.

« -Thomas à la pouliche- Tu n’écoute pas demoiselle ! Regarde dans quel état tu te mets, qu’est-ce que ça veut dire tout ça ? Je te demande le trot, tu accélère ton galop. Il va falloir mieux obéir mistinguette !

Les transitions suivantes furent meilleures après le sermon de Thommas. La pouliche réagit mieux aux aides placées par le jeune homme et y obéit plus vite, repassant à l’allure désirée presque aussitôt. Thompson eut cependant encore quelques difficultés avec ces fameuses transitions et y consacra un certain temps, soignant particulièrement ses gestes.

‘’ Sous les commandes de cet homme, rien n’est compliqué, les exercices semblent faciles et Aifha s’amuse réellement, une lueur s’est allumée dans son regard et c’est avec amour qu’elle obéit à cet homme qui lui donne goût à la monte. Cette lueur qui brille au fond de son œil, c’est la première fois qu’elle s’allume, c’est la promesse d’un lendemain qu’elle fait à ce doux américain. ‘’

Thommas arrêta la jument d’une pression sur la longe qui lui avait servi de rênes, il descendit et la marcha en main, tranquillement, avec douceur et attention. De cette façon, si elle tentait de lui transmettre quelque chose, il le verrait. Et en effet, il remarqua qu’elle avait dans l’œil une lueur qu’elle n’avait jamais eue auparavant. Ils rentrèrent côte à côte, foulant d’un même pas le sable du carré de la réconciliation, gardant un œil l’un sur l’autre, comme de nouveaux amoureux. Á ce moment, regardant par la fenêtre de son bureau richement aménagé, le directeur du centre équestre accouru, éberlué par la vision que lui offrait le jeune homme enlacé à la ponette noire.

« -Thommas au directeur- Jamais je n’ai connu ponette aussi respectueuse de l’être humain. Son seule problème n’était pas le sien mais le votre, la patience était la solution et votre pouliche, la voilà, toute changée mais la voilà. Monsieur, permettez moi d’acheter cette jument qui me permit de peaufiner ma méthode... Ce fut un moment éphémère que j’espère renouveler, Monsieur le directeur.

NIVEAU TEXTE
Écrire et parler français

= 7.6 / 10

NIVEAU TEXTE
Écrire et parler français

= 8.3 / 10.

15.9

Désolé, j'ai confondu, je le pensais prof' .
Désolé . Euhm . Je peux cependant, pour tes efforts, te proposer quelque chose, si tu le veux . Tu peux le prendre, en tant que Professeur , pur et simple . Et garder l'histoire avec Maxime .

III / YOUR STORY

[list]HISTOIRE :
La vie actuelle de Vodriel est centrée sur 2 jours: celui de la mort de sa soeur et celui de son accident. Et bien sur celui de sa naissance ... Celle ci à eu lieu dans une clinique privée très luxueuse de Paris. Premier enfant de ses banquiers de parents, il est rapidement confié à une nourisse, Agathe. Celle-ci était finalement sa mère de coeur, celle qui le conaissait mieux que sa vrai mère. Mais il fallait dire que ses parents avaient peu de temps à accorder à son rejeton. Tout deux originaires de New-York, ils étaient devenues les meilleurs financiers de la capitale française, et la vie de bureau ne leurs permettaient pas de s'occuper de leurs fiston. Mais finalement, Vodriel n'en a pas à se plaindre. Agathe était très douce et attentionnée, exemplaire dans sa justice et sa droiture d'esprit. Mais malgré le fait que Vodriel ne voyait presque jamais ses parents, ceux-ci firent une petite soeur à Vodriel, alors que celui-ci avait à peine 1 an. Le nouveau né, Gabrielle, était elle aussi confiée à Agathe. Les enfants grandirent très proches l'un de l'autre, et aussi d'Agathe. Mais 3 ans plus tard, la mère de Vodriel décida de reprendre l'éducation de ses enfants. Elle arrêta de travailler, et vira par la même occasion Agathe. Les enfant pleurèrent 1 mois, puis finalement se firent à cette nouvelle mère, leur mère naturelle, un peu maladroite et pas très confiante. Mais au fur et à mesure, les enfants se dévellopèrent. L'école puis le collège privé, et l'impression d'être dans un monde parallèle. Celui des riches. Le charisme et le caractère amical et drole de Vodriel et de sa soeur leur permirent d'être apprécier de tous. Gaby et Vod' était vite devenu les gamins les plus classe à fréquenter de la capitale. Parallèlement, la fraterie pratiqua les sports de riche: danse, piano, équitation. Ce n'est qu'avec ce dernier que Vodriel et Gaby excellait. En effet les enfants avaient vite adoré cet animal impresionnant, mais qui pourtant se laissait manier si on savait bien leur parler. Les enfant commencèrent leurs classes avec des chevaux achetés par leurs parents: shetland, puis welsh et conemara... mais malgré leur chance économique, ils savaient être humble et se remettre en question.

Une forte relation s'était instauré entre Gaby et Vodriel, au dépent de leur mère, qu'ils n'appréçiaient que lorsqu'elle tendait la carte bleu pour faire des courses et organiser des fêtes. Les fêtes. Une grande passion pour ses deux là, qui commençèrent le plus tot possible. On les voyait déjà la bouteille à la main à 15 ans. Les meilleurs fêtes de tout Paris, et un moyen de se sentir apprécier par son entourage. Finalement, c'est ce qu'ils voulaient. Une jeunesse donc centrée avec les fêtes et les chevaux. Juste cela. On pouvait bien prévoir que sa finirait mal. Voila arriver inexorablement le jour le plus décissif de sa vie.
Un soir, dans un local, pendant encore une de leures fêtes, un baggare éclata. Le copain de Gaby avait mal apprécier les regards de Ted, un ami de Vodriel. L'alcool et quelques substances guère recommandables suffirent à faire éclater le coup de poing de Luc, le copain de Gaby. Ted répliqua à son tour, faisant reculer le pauvre Luc, qui poussa Gaby. La porte de l'escalier du sous-sol était ouverte. Normalement Vodriel la fermait toujours. Le sous-sol était remplie de tessons de verres que ni lui ni sa soeur avaient eu le courage de ballayer. Le corps léger de Gaby suffit à ouvrir la porte largement. La belle brune dévalla l'escalier poussièreux d'un coup, comme en volant. Un sinistre bruit d'os brisé et de tessons marqua la fin de sa chute et le début du silence dans la salle. Même le DJ avait stoppé ses platines. Tout les regards se tournèrent vers la porte ouverte, puis vers Vodriel qui se ruait déjà dans les marches sombres, éclairés par les lumières de la salle qui semblait lointaine pour Vodriel qui observait, tétanisé, le corps inerte de sa soeur. Des larmes, des cris, des sirènes, voila ce dont se rapelle Vodriel de ce jour là. Cela et un terrible sentiment de culpabilité. Si Gaby était tombé, c'était de sa faute. Il aurait du fermer la porte à clé, comme il le faisait toujours. Il aurait du éloigner Ted de sa soeur. Sa vie semblait bloqué depuis cette soirée. Il arrêta d'abord l'équitation, devant l'incompréhension de ses professeurs. Il était très bon, avait un bon potentiel devant lui. On le voyait déjà sur tout les podiums. Mais Vodriel refusa de remonter. Cela le rapellait trop sa soeur. Il ne parlait presque plus à ses parents, et passait ses soirées à boire et à fumer. Ses rares sorties furent pour se faire tatouer un ange sur son épaule, en souvenir de sa soeur. Comme pour sentir encore plus le poids de la culpabilitée. Ses parents ne surent comment le remettre d'aplomb, eux même se sentant coupable du décès de leur fille. Mais au bout de 6 mois, ils sentirent qu'il fallait agir. Mr et Mme Creek décidirent donc d'envoyer Vodriel dans un centre pour jeune à New York, très réputé. Vodriel aurait ainsi l'ocasion de partir sur un autre pied. Là bas, les progrès n'étaient guère présent, et c'était à se demander si le jeune homme finirait un jour cette torpeure. Finalement, on l'envoya avec quelques camarades dans un ranch au Colorado, histoire au moins de lui faire prendre l'air. Le contact avec les chevaux fut bien douleureux au début, mais comme le dit l'adage: il faut guérir le mal par le mal. La rencontre avec un vieil homme caracteriel nommé Mr Port lui redona confiance, et lui apprit à savoir tourner la page. En 2 mois Vodriel semblait redevenu le même. Et il avait retrouvé un objectif: l'équitation. Sa hargne longtemps enfoui se retrouvait sur son visage pale, et ses talents firent vite retrouvés. Après avoir discutés avec ses parents, le jeune homme décida de rester encore 1 an aux USA. Là bas, il incorpora une prestigieuse écurie de CCE. Il n'avait rien perdu de son perfectionisme et de sa tenacité, et commençait quelques concours avec des résultats à la hauteur de ses espérances.
Après cette parenthèse américaine, Vodriel retourna à la capitale française. Une vague de mélancolie l'avait submergé, et il se sentait capable de réaffronter ses parents, ses amis, sa routine, sans sa soeur. Mais c'était sans compter sur le destin.
Il pleuvait le jour où Vodriel arriva à l'aeroport. On ne voyait rien au delà de 10 mètres, et c'est à peine si la route n'était pas une patinoire. Le chauffeur roulait un peu trop vite, et le camoin de devant avait les feux stops déffectueux. On vous laisse imaginer la suite. Là encore, de cette journée la plus influente de sa vie, Vodriel ne retint pas grand chose: des crissements de pneux, un choc monstreux, la tole du capo s'écrasant sous le camoin, le siège avant s'écrasant sur les jambes. La pluie, les sirènes, les regards sérieux et un peu désespéré des ambulanciers, puis plus rien.
Lorsque Vodriel s'était réveillé le lendemain, sa mère était en pleurs et lui tenait la main comme si c'était un bijou. Son père regardait par la fenêtre les vagues de pluies s'abatre sur la tour Eiffel.
"Maman..."
Le petit filet de voix que prononça Vodriel fit sursauter sa mère, qui regarda son fils, le visage larmoyant.
"Vodriel! Oh mon Dieu, merci!"
Elle fixa de nouveau le visage de son fils et caressa ses cheveux comme s'il s'agissait d'un trésor, d'un joyau, de quelque chose d'une valeur inestimable à ses yeux. Son père se retourna lui aussi, et malgré son visage marqué de cernes, il souria. Mais d'un sourire triste, qui ne laissait présager rien de bon. Cette apréhension devait se lire dans le visage du jeune homme, car le père ouvra la bouche, hésitant, puis se ravisa. Vodriel se tourna vers sa mère, puis lui demanda d'une voix légèrement tremblante.
"Qu'est-ce qui se passe?"
Mme Creek ne put que sourire, et ne lacha pas un mot. Le médecin arriva juste à ce moment là, empêchant Vodriel de reposer sa question. L'homme à la blouse blanche accueillit le réveil comme un très bon signe de rétablissement, mais la mine des parents n'avait guère changée. Après l'avoir osculté, le médecin jeta un oeil à ses parents, qui tout deux opinèrent négativement de la tête. De nouveau, Vodriel se sentit anxieux, comme le sentiement de ne rien controler, de tout subir. Le médecin se tourna vers Vodriel et sa voix pourtant si gaie il y a quelque instant se modifia soudainement.
"Tu as eu beaucoup de chance, lors de cet accident. L'incendit s'est déclaré assez tard, juste assez pour te sortir de ce tas de ferailles."
Vodriel était suspendu aux lèvres du médecin, pendant que sa mère pleurait dans les bras de son père. Quelques chose allait mal, mais quoi? Pourquoi attendre pour lui dire?
"Nous avons fais de notre mieux. Tu as eu de multiples fractures un peu partout, en particulier aux jambes et ... à la colonne vertébrale. Cette zone du corps étant trop endomagée, et la moelle épinière trop atteinte, nous n'avons put rien faire."
Le médecin regarda Vodriel, comme pour voir si le jeune homme devinait la fin de sa phrase. Mais Vodriel affichait toujours la même mine décontenancée, il ne comprenait pas où le docteur voulait en venir.
"Vodriel, tu ne pourras plus marcher."
Cette fois-ci sa mère éclata en sanglot de plus belle, pendant que son mari essayait d'être fort. Vodriel lui ne comprenait pas encore l'ampleur de cette nouvelle.
3 mois plus tard
Après la sombre nouvelle, les parents décidèrents d'arrêter de travailler pour se consacrer à fond sur leur unique enfant. Mais celui-ci n'avait plus trop besoin d'aide. Il avait apprit à se reprendre, à savoir se relever, même après les pires chutes. Il prenait cela comme un nouveau défi, un challenge à relever. Alors il avait fait avec. Il avait réaménager sa chambre pour qu'elle lui soit adapté, il avait apprit à vivre en étant dans un fauteil. Il voulait faire cela comme en mémoire de sa soeur, pour lui montrer qu'il n'était plus un bon à rien. Mais son plus grand défi, c'était de continuer à cotoyer les chevaux. Il ne montait presque plus, puisque très peu de club possédait des chevaux adaptés. Mais il donna de nombreux conseils et quelques cours aux cavaliers plus jeune et moins expérimentés. Il en coatcha même un, et l'emmena en concours progressivement. Face au regard des autres, il ne répondait rien, préférant se dire qu'il aurait put avoir pire comme destin.
Lors d'un concours régional où son élève montait, Vodriel repéra un homme venue de TH. Comment? Le bouggre parlait un français appproximatif, possédait un accent très anglais et semblait être un fin conaissanceur qui ne cessait de prendre des nôtes. En tout cas, Vodriel le revit quelques jours plus tard dans le haras où il s'entrainait. Vodriel était persuader que ce londonien venait de repéré son élève, et en était très orgeuilleux. Mais qu'elle surprise ce fut, quand ce fut lui qui reçut la lettre. Vodriel hésita un peu, puis finalement, ce dit que TH, il ne pouvait rêver de mieux. Et quelle meilleure manière de montrer que malgré son passé, il pouvait être quelqu'un?

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[Je met ma présentation ici puisque je prend Vodriel ^^ ]

Invité

Je prendrais donc le beau et le grand Thommas Thompson en tant que professeur. Merci à toi pour ta notation, merci à Sandra pour ses remarques, merci au forum d'exister !

Bisx

Ok pour vous deux !

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