| | | Aztecques de la Muse | Antoine Hurj |  |
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Antoine Hurj
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| Sujet: Aztecques de la Muse | Antoine Hurj  Mar 19 Aoû - 18:54 | |
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- NOM ENTIER DU CHEVAL : Aztecques de la Muse
NOM ENTIER DU PÈRE : Just Him de l’Azur
NOM ENTIER DE LA MÈRE : Envolée de la Muse
ÉLEVAGE DE NAISSANCE : Elevage de la Muse
PAPIERS: OC
DATE DE NAISSANCE : 28 février 2003
AGE ACTUEL : 5ans
SEXE DE L'ÉQUIDÉ: Étalon
NUMERO DE PUCE: XPF 1456 923G
TAILLE: 1m72
SON CAVALIER: Antoine Hurj - Citation :
- SAUT D'OBSTACLE : 0
HUNTER : 0
CROSS : 0
DRESSAGE : 12
COURSE : 0
ATTELAGE : 0
PONY GAMES : 0
HORSE BALL: 0
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WESTERN: 0
ÉTHOLOGIE : 0
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MORALE : 23
Dernière édition par Antoine Hurj le Mer 20 Aoû - 22:10, édité 1 fois | |
| | | | Antoine Hurj
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| | Sujet: Re: Aztecques de la Muse | Antoine Hurj Mer 20 Aoû - 20:36 | |
|  Haron monté par JL notre écuyer, la photo m'appartient, elle n'est pas LDDAntoine arriva avec son beau baie qu'était Aztecques, oui oui, ce cheval même qu'il avait renomé Pastèque, allez savoir pourquoi. Il avait décidé de le travailler un peu en dressage aujourd'hui. Pourquoi ? Il avait dit qu'il allait faire surtout de la ballade mais il s'était rendu compte qu'un concour allait bientôt se faire en dressage donc il allait quand même le travailler un peu dans cette discipline afin de pouvoir en tirer quelque chose lors du concour, s'il le faisait bien sûr car Antoine était perfectionniste ( hum j'entends les ricanements depuis là ), mais seulement lorsqu'il était à cheval bien entendu et il ne voulait pas s'inscrire si son cheval n'était pas prêt. Il se fichait complètement du résultat mais pas de la manière dont sa se passerait, s'il finissait dernier mais que son cheval avait tout donné il serait content. S'il finissait dernier car son cheval était partit en coup de cul et n'avait rien voulut entendre il serait facher, pas contre Aztecques bien sûr, mais contre lui même qui s'était inscrit au concour trop vite, et un concour perdu était du temps perdu et du moral perdu pour sa monture, ce qu'il ne voulait absolument pas.
Mais ils n'en étaient pas là en attendant vu que pour le moment Antoine était en train de laisser la marque de ses pas et également ceux de son fière cheval en marchant dans la carrière pour arriver au milieu et monter dessus. Déjà à côté Pastèque était un vrai p'tit diable, il cherchait tout ce qu'il pouvait trouver, il regardait partout et un rien l'amusait. Là, ce qui l'amusait c'était la badine qu'Antoine avait dans la main qu'il trouvait rigolo, il tentait de la prendre dans les dents sans y parvenir car il n'arrivait pas à la prendre et à marcher... Ah ces mecs, imossible de faire deux trucs à la fois, et il faut dire que ça arrangeait bien le beau brun qui marchait en attendant.
Arrivé au milieu de la carière on pouvait regarder le couple, comment il était vêtu. Antoine avait sans pantalon d'équitation avec ses bottes des gants, sa badine et une bombe, et un joli t.-shirt vert bouteille qui allait très bien avec le tapis d'Aztecques. Le cheval lui, outre son tapis de selle vert bouteille avait une selle de dressage, un amortisseur, son filet simple comme toujours et avait des bandages devant et derrière, Antoine préférait les bandages aux protections comme les guêtres et autre qui pouvaient parfois blesser les chevaux.
Le cavalier avait regardé la reprise du dressage à effectuer et à part des cessions à la jambe et des allongés il n'y avait rien d'autres au niveau des figures, le reste serait la précision des figures, l'incurvation et l'impulsion. Le plus dur il le savait allait être d'arriver à arrêter Aztecques et de le garder immobile vu qu'il avait la bougeotte mais bon. Ils avaient du temps pour travailler ça, encore heureux.
Antoine ressangla la sangle de son cheval ( qui fit semblant de mordre un fantôme ) et baissa ses étriers et monta dessus, le cheval partit immédiatement, la réponse fut immédiate, Antoine l'arrêta en se mettant en arrière et avec une légère pression sur ses rênes, le cheval s'imobilisa immédiatement la tête haute et les oreilles en avant, comme ils étaient dans une carrière dehors il aurait beaucoup de chose à voir, mais pour son moral c'était mieux, et le concour serait probablement dehors et puis Antoine n'aimait pas travailler à l'intérieur, c'était morne et ennuyeux, au moins ici c'était plus sport. Comme son entier ne décida pas de repartir sans invitation Antoine le mit en avant avec un mouvement du bassin et en serrant légèrement ses mollets. Il utilisait beaucoup son bassin pour que plus tard juste ce mouvement serve à le faire avancer et non ses jambes, ou en cas de recours. Le regard loin, Antoine marchait son cheval tranquillement au pas rênes mi - longues pour lui faire comprendre qu'il était autonome mais en même temps le cavalier était prêt à reprendre ses rênes à tout moment en cas de problème. Mais Aztecques était joueur et un peu foufou sur les bords mais pas méchant, cependant après six foulées déjà il se mit à hennir ses copains, comme s'il était malheureux là à marcher tranquillement. Pourtant ce n'était pas le cas, vu l'entraint qu'il mettait pour marcher et ses yeux pétillant de malice avec ses petites oreilles pointé en avant, il était vraiment adorable.
Son cavalier ( tout aussi adorable ) le laissa marcher un moment tranquillement pour se mettre en route puis, petit à petit commençait à prendre ses rênes pour lui demander des choses. Des choses, quoi comme choses z'allez me dire c'est ça ? Et bien déjà tout en restant au pas, faire des cercles en passant d'une incurvation à l'autre, rien de bien compliqué n'est-ce pas, si ce n'est qu'Antoine ne laissait pas son cheval tourner comme une péniche, il travaillait avec des simples rênes d'ouvertures afin de lui donner la direction tandis que son regard déterminait où il allait, très peu de main cependant beaucoup de jambe. C'était un dosage à trouver car on sentait bien que l'entier était prêt à partir à fond au moindre coup de jambe trop fort, il gazait si je puis dire ça ainsi, prêt à partir. En sentant celà, Antoine se dit que le problème ne serait pas de l'intéresser au dressage, mais d'arriver à le canalyser, donc s'il fallait faire des heures complètes au pas, il n'y avait aucun problème pour lui. Mais en attendant ce n'était pas encore au planing, il allait faire une leçon de dressage dans les règles de l'art avec son cheval qu'il ne connaissait que très très peu vu que ce n'était que la deuxième fois qu'il le montait. Comme il n'était pas chaud mais que au pas des exercices simples ne risquaient pas de trop être dur pour lui il commença à l'incurver et le faire céder.
Vous savez pas de quoi je parle ? Mais si, je parle qu'en faite il fait des petites voltes au pas pour le faire céder, c'est à dire qu'il ne le met pas sur la main, il fait des descentes d'encolure c'est à dire que le cheval va encore plus bas que ce qu'on demande pour se mettre sur la main, ce sera la preuve d'un bon placer, on peut le mettre dans l'hatitude que l'on veut, cependant ce n'était pas encore le cas avec Aztecques, et il ne le cherchait pas du tout non plus. Donc je reprenais, pour faire des descentes d'encolure afin de faire comprendre au cheval qu'il ne pouvait pas mettre sa tête en l'air car c'est un peu ce que faisait Pastèque, Antoine devait déjà penser à se tenir bien, sa position, redresser son dos, baisser ses talons et ne pas casser ses poignets, ça c'était pour lui. Ensuite, avec ses jambes et s'il n'y avait pas de réaction sa badien, réveiller son cheval et tourner. Facile non ? Ce n'était pas compliqué, c'était juste un coup à prendre, car comme on le lui avait répêté souvent : Si tu mets de l'impulsion sur de l'incurvation c'est obligé que ça passe quelque part. Et ça passait, et ainsi Aztecques se mit à baisser sa tête, on sentait qu'il ne comprenait pas qu'il pouvait aller encore "plus bas" que la mise sur la main qu'on avait souvent du lui demander, mais en rajoutant encore un petit peu d'impulsion il réussit à le faire céder un peu plus. Le cheval était actif, ses oreilles en avant on pu se rendre compte qu'au bout d'un petit moment il se détendit car on l'entendit "souffler" des naseaux, il commençait à prendre son temps pour poser ses pieds. Tandis qu'il faisait ça, Antoine devait penser à sa position car il était tentant lorsque le cheval allait plus bas de partir en avant, ou de ne pas céder dans la main. Car la première condition était : lorsque le cheval cède, tu cèdes sinon il n'aura plus envie de céder, c'était logique.
 L'écuyer en train d'aider son élève à faire "descendre" son cheval, grâce à l'impulsion qu'il met avec sa main et le cercle.
Bien sûr, lorsqu'il eut finit de le faire à main gauche, côté qu'il avait commencé car lui même se sentait mieux à cette main, il du faire pareil à main droite car un cheval était toujours assymétrique et le boulot du cavalier était de le rendre au maximum symétrique c'était logique. Lorsqu'il commença à mettre de l'impulsion et le faire tourner à main droite il pu se rendre compte qu'il allait mieux à cette main ci et il dit tout haut.
" Tu peux me traiter de con, c'est sur que si on commence d'abord par le côté qui va le moins bien, c'est pas normal. "
Enfin bon, après avoir fait céder le cheval à main droite il le laissa rênes longues et le flatta, si le cheval n'aimait pas particulièrement le dressage il se donait au moins de la peine, il faut dire que ce n'était pas bien compliqué non plus car il n'était pas raide, mais il fallait le faire tout de même. Après l'avoir laisser un peu marcher rênes longues sans penser à rien pour Antoine et en reniflant le sol pour Aztecques, il reprit les rênes, surement trop brusquement car son entier partit en secouant la tête au petit trot, oreilles en arrière. Il était très sensible le jeune homme s'en rendait compte et finalement c'était une qualité plus qu'un défaut, c'était maintenant à lui de faire attention à ses actions pour ne pas bousculer le monsieur qui était entre ses jambes ( à quoi vous pensez là  ). Mais ça allait venir, il lui fallait le temps de le connaître.
Donc pour continuer, il se mit sur un petit cercle afin de le rendre plus bas dans son hatitude pour entammer une épaule en dedant tranquilement. Pour celà tout le monde connaît les aides non ? sa jambe exterieur un peu reculé et ainsi lui sortir les épaules. On faisait une légère rênes d'ouverture avec la main intérieur pour lui sortir les épaules et ensuite on gardait les aides en places en ne faisait plus rien avec la main. J'insiste sur le plus rien avec sa main car ce n'est pas avec ses mains qu'on fait une épaule en dedant ou tout autre exercice, c'était bel et bien avec ses jambes, mais le cheval doit pouvoir garder une épaule en dedant sans aides pour que plus tard on n'ai plus qu'à mettre ses aides en place, passer la commande et attendre la réponse. Bien sûr, la position du cavalier y était aussi pour quelque chose, il devait se tenir droit, légèrement en arrière et regarder loin devant lui. Si ce n'est la position de sa jambe exterieur, l'interieur ne devait pas bouger et ses mains ne devait pas tirer. Son regard devait être loin devant lui et ne pas bouger, le cheval faisait le mouvement, lui il devait suivre c'est tout et pas se dandiner plus que le cheval, logique mais dur à faire. Pour Antoine, le plus dur à faire était le regard, sa position allait encore mais il avait toujours tendance à regarder son cheval voir s'il se mettait juste ou pas, il devait à tout moment se forcer à regarder loin devant lui ce qui lui enlevait de l'efficacité, mais il n'avait pas le choix, il devait se forcer. Le cheval de son côté allait un peu vite alors en se mettant légèrement en arrière il le ralentit légèrement sans pour autant tirer dessus puis à la piste sur un grand côté il " passa la commande ".
 Travail de l'épaule en dedant sans étrier sur Alto. Photo comme les autres NLDD
Et la réponse ne se fit pas attendre, le cheval se mit à gigoter, trop de jambe de la part d'Antoine et il ne savait donc pas où se mettre, le cavalier donc se fit moins insistant dans les aides et l'entier sortit donc ses épaules, heureusement qu'il était à la parois car il se rendait bien compte que le cheval avait de la peine à rester droit derrière. Cependant pour le moment Antoine faisait en sorte que ses épaules sortent légèrement, pas trop non plus car après l'épaule en dedant était fausse mais assez tout de même pour que ce soit une épaule en dedant et qu'il ne torde pas que l'necolure de son cheval mais pour que son cheval soit bel et bien sur trois piste. Aztecques était d'accord de travailler probablement car les exercices étaient intenses mais sur la durée c'était court, car Antoine après quatre foulée en épaule en dedant remit son cheval droit et le flatta avant de le lui redemander une deuxième fois pour un peu que la deuxième fois soit mieux que la première. Et c'était le cas, le cheval semblait plus comprendre ce qu'il se passait car l'épaule en dedant était plus régulière, pas comme la première où il ne savait pas trop où mettre ses pieds. Après trois foulées juste il lui donna les rênes et le laissa marcher tranquillement en le flattant. Il y avait du boulot à faire ça c'est sur, mais il était volontaire et n'attendait que ça, qu'on lui passe la commande pour le faire, et probablement que s'il ne le faisait pas c'est qu'il ne savait pas ou ne comprenait pas comment il fallait faire.
Après l'avoir laisser souffler un instant il reprit ses rênes en faisant attention cette fois ci de ne pas le brusquer ou le surprendre. Puis tout en lui parlant il remit ses jambes pour le préparer à un nouvel exercice à nouveau, les cessions à la jambe. Oui oui je sais, il n'a toujours ni trotter ni galoper, mais le cheval est chaud tout de même, seulement il le chauffe différement, ainsi il peut travailler au pas plus longtemps et immédiatement passer au galop après sans se claquer un muscle ( pour le cheval donc ). Pour la cession à la jambe les aides sont les mêmes que pour le cercle qui sont les mêmes que l'épaule en dedant, logique vu que tout fait partie de la famille du cercle. Donc pour le préparer je disais qu'il avait fait un cercle à nouveau pour le mettre dans une attitude basse afin que lorsqu'il s'ouvre il soit toujours dans une position qui aie encore. Logique non ?
Donc pour le faire baisser à nouveau des jambes et des cercles, lorsqu'il se mit en bas, Antoine pu savourer les gestes de son coco, il prenait le temps de poser ses pieds et n'était plus complètement pressé d'aller en avant, il semblait à l'écoute, non, il était à l'écoute. Donc il était à main droite vu que c'était le côté le plus facile, le petit cercle à droite puis en reculant légèrement sa jambe exterieur ( donc la gauche ) comme pour une épaule en dedant et sans bouger autre chose il l'emmena à aller de côté. Car c'était la jambe qui faisait aller son cheval de côté et non la main. Moins le cheval allait de côté plus le cavalier voulait mettre de la main pourtant moins il devrait en mettre et plus il devrait mettre de l'impulsion. L'impulsion règle tout, sans impulsion on ne parle même pas d'équitation ( phrase by me, c'est joli non XD ).
Cependant, le problème d'Aztecques n'était pas qu'il n'allait pas de côté mais bel et bien qu'il avançait trop par rapport à ce qu'il allait de côté. Grâve docteur ? ouai un peu quand même, mais comme tout, ça se soigne, mais au lieu de prendre devant, chaque fois que le beau cheval se mettait à se jetter de côté il le remettait sur le cercle pour le ralentir et redemandait la cession lorsqu'il avait cédé. C'était une technique qui était plus longue à réalisé mais à long terme le cheval irait de côté juste avec la jambe sans se jetter en avant dès qu'on arrêtait de mettre la main. Un cheval ne devrait pas à travailer dans la contraction avec la main du cavalier en permanance actif. [ La suite dans le prochain message ] | |
| | | | Antoine Hurj
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| | Sujet: Re: Aztecques de la Muse | Antoine Hurj Mer 20 Aoû - 21:34 | |
|  Ceci n'est pas une cession à la jambe mais juste les jambes croisées mais je l'aimais bien alors je la met. Photo NLDDLes cessions à la jambe étaient vraiment un exercice aimait pratiqué, sentir le mouvement du cheval qui croisait les jambes, c'était bon à sentir pourtant c'était aussi un exercice au niveau de la position qui était compliqué car il ne fallait pas se tordre ni d'un côté ni de l'autre, et une chose qu'Antoine oubliait souvent, c'était de mettre sa jambe ( pas celle qui l'emmenait de côté, l'autre ) à la sangle, souvent il la décalait légèrement du corps du cheval, ce qui n'était pas bon. Enfin, donc il fit l'exercice plusieurs fois pour sentir que progressivement ça allait mieux, mais à la fin alors qu'il se rendit compte que physiquement il pouvait demander un peu plus il décida de se remettre rênes longues et le flatter car il sentait sa monture qui commençait à s'ennuyer, le signal pour demander quelque chose de plus actif dans le trot et dans le galop.
Il reprit donc son cheval en faisant un léger appel de langue afin qu'il comprenne qu'il allait recommencer à travailler. Il allait donc continuer au trot, son cheval avait déjà durer plus de trente minutes, plus de la moitié de la séance au pas, il avait raison de s'ennuyer finalement. Le cheval était donc bien chaud maintenant et il pouvait trotter assis sans crainte surtout qu'il allait trotter très lentement car il ne voulait pas le laisser aller à fond. Mais avant de partir, tout en parlant à son cheval qui avait maintenant ses oreilles qui tournaient dans tout les sens et on pouvait en plus voir qu'il était mouillé, pas du travail non, mais plutôt pour le travail mental qu'il subissait, c'était la première fois qu'il travaillait avec Antoine et même si on n'y croyait pas c'était tout de même plutôt intense. Bref, je ne vais pas détailler ce que le cheval pense parce que je suis partagée entre l'envie de dire qu'il souhaite qu'Antoine aie sauter d'un pont pour ne plus venir l'embêter ou que au contraire il le remercie du travail bien fait qu'il débutait avec lui.
Antoine, d'une pression de molets et d'un mouvement du bassin en avant fit partir Aztecques la Pastèque au trot, il prit le trot assis immédiatement et sans lui laisser le temps d'accélérer ou de penser à une bêtise il le mit sur le cercle, cercle au trot, le but était le même que au pas, le faire céder afin qu'il se détende et que ses muscles travaillent dans le bon sens. Il se souvenait que son ancien prof lui disait toujours : Si ton cheval n'est pas en bas ça ne sert à rien de faire autre chose tu le foutras forcément en l'air. Perds du temps à faire ça et tu te rendras compte que tu n'en as pas perdu mais au contraire que tu en auras gagné. Et c'est bien ce qu'il faisait, il le faisait changer d'incurvation, il sentait son cheval s'engager, être actif à toutes ses demandes et voyait ses oreilles passer dans tout les sens, il était réactif et actif. Antoine adorait ce trot, il se sentait à l'aise, agréable, il revait, le cheval était souple et même si plus tard il serait encore mieux dans le trot c'était déjà ça, il avait un bon trot, on avait l'impression que ses pieds ne touchaient plus le sol et qu'il volait au ras du sol prêt à s'envoler. Si ce n'était pas le cas, c'est du moins l'impression du beau mec dessus. Il le travailla peu de temps au trot pour tout dire, pour plusieurs raisons. Déjà, il était chaud donc pas besoin de perdre du temps innutilement à trotter. Et ensuite car comme il avait de la peine au pas il se revela qu'il avait plus de peine au trot, ça irait mieux au galop. Il preferait faire moins de trot mais le faire bien.
Donc pour ce qui s'est passé au trot, malgré que l'entier après avoir vu un oiseau passé sous son nez tenta d'accélérer, mais accélérer sur un cercle c'est compliqué surtout quand en prime on s'emêle les pinceau au niveau des pieds, il arrêta de penser à partir à fond et se redressa plutôt pour tenir sur ses quatres jambes, cependant, on le sentait alerte, il regardait partout mais pourtant il était concentré. Pas encore à cent pour cent, ce n'était pas encore optimale mais Antoine ne le faisait pas travailler dans cette optique, il avait le droit d'être encore un peu joyeux, il avait l'âge. Pourtant, au travail au trot on sentait qu'il avait plus de peine que au pas, c'est pour cette raison qu'il fit peu de temps au trot pour se remettre au pas et, d'une légère pression de sa jambe interieur ( qui était donc la droite ), il lui demanda le galop, le cheval partit immédiatement, il était ouvert, ce n'était pas bon. C'est pour celà qu'immédiatement il se retrouva sur un cercle, plus grand que celui du pas et du trot bien sûr. Et comme il était bien dans l'impulsion ( merci la voiture qui venait de passer et de le surprendre pour le réveiller encore plus ) il était obligé de céder, et comme bien des chevaux le pas et le galop étaient les allures qui allaient le mieux. En faite, souvent c'était soit le pas et le galop qui allait le mieux soit c'était le trot, ne me demandez pas pourquoi je ne saurais pas le dire, mais une chose qui est sûr c'est qu'il faut travailler avec ce qui va pour arranger le reste. Antoine le fit donc galoper sur le cercle à main droite avec quelques nuances, lorsqu'il sentait qu'il cédait un peu il le flattait, mais il le faisait également accélérer et ralentir. Si accélérer était un jeu d'enfant ( comme on dit : accélérer même le premier des pignouf y arrive mais ralentir est plus dur ) et effectivement, ralentir est plus dur, autant pour l'accéléréer on le sent se mettre sur les épaules en premier lieu et faire quelque chose de bizarre avec le postérieur du côté de l'intérieur, de plus si on le voyait monter on pourait dire qu'il avait les yeux en feu, tout content de galoper enfin, mais il était gérable, il était géré, il ne faisait pas n'importe quoi. Autant pour ralentir c'était plus compliqué, le cheval déjà sur les épaules peinait à se mettre en arrière, Antoine se mettait en arrière en regardant loin devant lui pour mettre son poids en arrière et au lieu de tirer comme on aurait pu croire il se mit à racourcir son cercle, il était obligé de ralentir, et lorsque c'était fait il le flattait énormément. Il accélérait donc très peu pour l'avoir toujours dans le gérable mais par contre il pouvait se permettre de ralentir beaucoup, pour lui montrer que c'était ça qui était voulut. Ensuite il le remit au pas et le fit céder également et le flatta. Antoine aimait beaucoup ce galop, si son trot était génial le galop était ... WOUAW il avait des allures génial et on sentait qu'il était alerte, prêt à réajir, prêt aussi à faire l'abrutit bien sûr, mais il était agréable, comme s'il était sur une piste de décolage prêt à s'envoler, Antoine n'avait plus qu'à se tenir bien ( ce qui n'était pas facile ) et à se laisser porter, lorsque ce cheval serait au top au niveau du dressage Antoine savait qu'il aurait énormément de plaisir, ça allait être du pur régal.
Mais en attendant il était au pas à main gauche et en pressant sa jambe gauche après avoir pris garde à baisser son talon son cheval partit au galop, comme prévu le côté gauche était beaucoup plus ouvert, plus raide, moins agréable, logique mais ... dépriment peut-être. Mais en attendant c'était comme ça et il n'avait plus qu'à le travailler pour que ça change pour être symétrique. Tout en mettant ses jambes et en suivant le mouvement du galop il le faisait tourner, il le mettait sur un cercle. Pourtant, malgré tout ses efforts ( d'Antoine ) et la bonne volonté d'Aztecques il fut franchement dur de le faire céder un peu et si un peu était possible ça ne lui suffisait pas, il se remit donc au pas et là le fit céder au pas, c'était comme ça qu'on commençait. Au début le cheval était en bas, puis durant l'exercice ne l'était plus mais à la fin on le remettait en bas afin qu'il comprenne que c'était ça qu'on lui demandait, qu'il soit dans cette attitude.
Et lorsqu'il était en train de le faire céder au pas il sentit quelque chose, en plus du cheval qui se détendait comme si ... pas qu'il avait compris car c'était un travail de tout les instants mais plutôt comme s'il cédait vraiment, il avait arrêté de se dire : mais mince oui je fais et tu me fous la paix. C'était plutôt qu'il était vraiment détendu alors sans attendre il arrêta son cheval et le flatta. Et vous savez ce qu'il a fait ? Non, ben je vais vous le dire.
Il a mis pied à taire, remonté ses étriers et déssanglé de deux trous tandis que le cheval était immobile puis, prenant les deux rênes dans la main droite il se mit à marcher à côté de lui en le flattant, il avait bien travailler et il en était content, il le caressait puis après lui avoir décrocher sa muserolle il sortit un bonbon de sa poche ( magie xp )et le lui donna et continua de marcher à côté de lui. Le cheval semblait être résolu et câlme, beaucoup plus câlme qu'au début, même s'il savait que demain ce ne serait plus ainsi il était essentiel que le cheval finisse sur un bon souvenir afin de reprendre sur quelque chose de positif le lendemain.
" T'as été super ! "
En attendant il le marcha de longues minutes avant de le rentrer au box pour s'en occuper. [ Fait sur deux messages car je n'arrivais pas que sur un ^^ ] | |
| | | | MAXIME Andersen.
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| | Sujet: Re: Aztecques de la Muse | Antoine Hurj Mer 20 Aoû - 22:03 | |
| NOTE DU TEXTE
+ de 45 Lignes SOINS + 4
MORALE + 7
DRESSAGE + 12
COMMENTAIRES
Corriger ce genre de texte est toujours un véritable plaisir . Un mot à dire ? Félicitation . J'aime et je redemande . Tu t'appliques, te relis, met du temps, et fais pas mal de petites choses pour nous donner envie de lire, chose que peu ont . Dommage que certaines photos soient floues  . Je m'égare là x) . Mes petits conseils pour améliorer le texte ? De temps à autres le vocabulaire est moins recherché que dans le reste du texte . Des allures waou .. Je pense que tu devrais bosser sur l'expression des sentiments & corporel de toi et ton cheval . | |
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